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Qu'est s' qui fait, qu'est s' qu'il a, qui c'est celui là?

Avant de vous faire part de mon premier billet, pour que nous fassions un peu plus ample connaissance, voici une partie de mon existence…. Une partie seulement…bien sur..

Né sur les fêtes foraines, je suis tombé dès ma naissance « dans la  potion », pardon, « dans la passion »  pour les longs ensembles de véhicules.

Après avoir passé mes permis (à 18 ans), j’ai débuté dans le transport comme chauffeur livreur (charbon, patates, vins), j’ai rapidement sauté le pas, de cet épisode pas très constructif, de ma vie de chauffeur (si ce n’est lumbago et autres tours de reins).

Je me suis engagé dans une entreprise de transports régionaux, toujours en porteur (marée puis olives).

Toujours pas satisfait, je suis passé à la « vitesse supérieure »  en adoptant le grand régional. Cette fois ci, en semi-remorque (citerne). J’ai alors transporté des engrais liquides pour la tristement célèbre usine AZF qui s'appelait à cette époque ONIA.

De là à faire le grand saut, il n’y avait qu’un « marchepied ».

Alors, je suis entré au service d’une entreprise fabuleuse ou je suis resté neuf ans à faire de l’international. De l’Espagne à la Suède, de la Belgique au sud de l’Italie, toute l’Europe y est passée, jusqu’à finir par faire le Moyen-Orient. Mais ensuite la guerre Iran-Irak commençait à ce préciser et j’ai préféré revenir à des voyages moins dangereux à savoir le National.

J’ai alors fait du primeur (en camion remorque, pour un ami) et enfin du frigo...

La vie à parfois des retours de situation que nous ne maîtrisons pas, car, après avoir eu des commerces, ainsi qu'une vingtaine d’employés, je me suis retrouvé à accepter une place de moniteur super lourd. (J’avais bûché et réussi mon diplôme d’enseignant, tout en roulant en 1979) on m’a ensuite proposé une place de formateur professionnel.

Je fais donc actuellement un métier qui me passionne (réglementations et pratiques) car je suis revenu indirectement à mon premier amour « la route ».

On a beau faire un autre boulot et dire ce qu’on voudra, mais la ROUTE, c’est un virus qu’aucun anti-virus de la planète ne peut enrayer.

Pour terminer ce petit tour d’horizon personnel, je voudrais dire que du Bernard 180 de mon Papa, jusqu’au Mercedes Actros d’aujourd’hui, en passant par des Saviem SM10, SM240 ou les Mercedes 1920, 23, 24, 26 et autres Volvo F89, croyez moi :

« « « «  On n’oublie rien  » » » »

Quel pied, quand on y pense !!!!!!!!

Ah !! Sacré virus de la ROUTE, quand tu nous tiens………………………………

Maintenant que vous me connaissez un peu mieux, la semaine prochaine, vous aurez l’occasion de voir un autre coté. Plus tendre par moments, mais aussi plus mordant à d’autres moments… Selon l’humeur ………

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AL-HUMEUR
2004