-
Présentation
générale
L'épreuve
pratique de
l'examen du
permis de
conduire des
catégories B
et B1 a pour
objet de
contrôler
les
connaissances,
les
aptitudes et
le
comportement
des
candidats,
nécessaires
pour
circuler en
toute
sécurité.
Cette
épreuve
consiste à
évaluer chez
tout
candidat :
Le
respect des
dispositions
du code de
la route ;
Sa
connaissance
du véhicule
et sa
capacité à
déceler les
défauts
techniques
les plus
importants ;
Sa
maîtrise des
commandes et
de la
manipulation
du véhicule
pour ne pas
créer de
situations
dangereuses
;
Sa
capacité à
assurer sa
propre
sécurité et
celle des
autres
usagers sur
tout type de
route, à
percevoir et
à anticiper
les dangers
engendrés
par la
circulation
et à agir de
façon
appropriée ;
Sa
connaissance
des notions
élémentaires
de premiers
secours ;
Son degré
d'autonomie
dans la
réalisation
d'un trajet
;
Sa
capacité à
conduire
dans le
respect de
l'environnement
et à adopter
un
comportement
courtois et
prévenant
envers les
autres
usagers, en
particulier
les plus
vulnérables.
L'épreuve
pratique
s'inscrit
après la fin
de formation
initiale du
candidat.
L'épreuve
repose sur
l'analyse et
le bilan des
compétences
du candidat
et
l'application
des
dispositions
réglementaires
du code de
la route.
Cette
évaluation
est réalisée
par un
inspecteur
du permis de
conduire et
de la
sécurité
routière, un
délégué au
permis de
conduire et
à la
sécurité
routière ou
un agent
public tel
que défini à
l'article
D. 221-3
du code de
la route. Au
sens du
présent
arrêté, ces
agents sont
désignés
sous le
terme
d'expert.
La
journée d'un
expert se
compose de
13 examens
des
catégories B
ou B1.
Le temps
consacré au
candidat,
qui est de
32 minutes,
comprend :
La
vérification
de la
recevabilité
des
documents
d'examen ;
L'accueil
du candidat,
la
vérification
de son
identité et,
s'il a suivi
une
formation
selon la
formule de
l'apprentissage
anticipé de
la conduite,
de son
attestation
de fin de
formation
initiale en
s'assurant
du respect
de la durée
minimale
réglementaire
d'un an de
conduite
accompagnée
entre la
date du
rendez-vous
préalable et
celle de
l'examen ;
Son
installation
au poste de
conduite ;
La
présentation
de l'épreuve
par l'expert
et la
réalisation
d'un test de
la vue ;
Une phase
de conduite
effective
d'une durée
minimale de
25 minutes ;
La
réalisation
de deux
manœuvres
particulières
à tester en
relation
avec la
sécurité
routière :
un freinage
pour
s'arrêter
avec
précision et
une manœuvre
en marche
arrière ;
La
vérification
d'un élément
technique à
l'intérieur
ou à
l'extérieur
du véhicule,
complétée
par une
question en
lien avec la
sécurité
routière et
par une
question
portant sur
les notions
élémentaires
de premiers
secours ;
L'établissement
du
certificat
d'examen du
permis de
conduire et,
le cas
échéant, sa
mise sous
pli ;
Les
candidats
dont les
véhicules
sont
spécialement
aménagés
pour tenir
compte de
leur
handicap
physique,
ainsi que
les
candidats
sourds ou
malentendants,
peuvent
bénéficier
d'un temps
supplémentaire
permettant
de réaliser
l'évaluation
des
candidats,
telle que
décrite aux
articles 1er
à 4 du
présent
arrêté, en
tenant
compte de
leurs
difficultés
éventuelles
de mobilité
ou de
communication.
Il
appartient à
l'école de
conduite ou
à
l'organisme
de formation
présentant
le candidat
d'en
informer
préalablement
le service
en charge de
la
programmation
des examens.
-
Contexte de
réalisation
L'épreuve
pratique a
lieu sur un
secteur
permettant
de placer le
candidat
dans un
maximum de
situations
qu'un
conducteur
est
susceptible
de
rencontrer
en et hors
agglomération.
L'épreuve
se déroule
avec un seul
candidat
dans le
véhicule.
L'ordre de
passage des
candidats
présentés
par un même
établissement
d'enseignement
de la
conduite et
de la
sécurité
routière
relève du
choix de
l'enseignant
ou du
représentant
de l'école
de conduite.
L'expert
s'installe à
la place du
passager
avant droit.
Un
représentant
de
l'établissement
d'enseignement
de la
conduite et
de la
sécurité
routière ou,
dans le cas
d'un
candidat
libre, une
personne
titulaire du
permis de
conduire de
la catégorie
B, est
obligatoirement
présent
durant
l'épreuve
pratique.
Il
s'installe à
l'arrière,
de manière à
gêner le
moins
possible la
vision vers
l'arrière.
L'attitude
de
l'accompagnateur
doit être
empreinte
d'une totale
neutralité.
S'agissant
de l'épreuve
pratique de
la catégorie
B1, il est
fait recours
à la
procédure du
véhicule
suiveur,
avec liaison
radio entre
l'expert et
le candidat.
Les
émetteurs-récepteurs
sont fournis
par le
service en
charge de la
gestion des
examens ou
par
l'établissement
d'enseignement
de la
conduite.
Ils doivent
être agréés
par les
services des
postes et
des
communications
électroniques.
Les
appareils de
type CB sont
interdits.
-
Véhicules
d'examen
Le véhicule
automobile
utilisé pour
les examens
de la
catégorie B
doit
répondre aux
conditions
ci-après :
Etre un
véhicule de
série,
affecté au
transport de
personnes,
dont le
poids total
autorisé en
charge
(PTAC)
n'excède pas
3 500
kilogrammes
et capable
d'atteindre
la vitesse
d'au moins
100 km/h ;
Comporter au
moins quatre
places
assises ;
Etre équipé
de vitres
latérales au
niveau de
toutes les
places
assises et
d'une vitre
arrière ;
Avoir été
mis pour la
première
fois en
circulation
depuis six
ans au plus.
Le véhicule
d'examen
doit
comporter
les
équipements
spécifiques
suivants :
Un
dispositif
de double
commande de
freinage et
de
débrayage.
Le
dispositif
de double
commande
d'accélération,
s'il existe,
doit être
neutralisable
;
Deux
rétroviseurs
intérieurs,
l'un réglé
pour le
candidat et
l'autre pour
l'expert ;
Deux
rétroviseurs
latéraux
extérieurs,
à gauche et
à droite,
réglés pour
être
utilisés par
le candidat
;
Un
rétroviseur
latéral
extérieur à
gauche, ou
tout
dispositif
de
rétrovision
additionnel
équivalent,
réglé pour
être utilisé
par
l'expert, si
l'accompagnateur
s'installe à
l'arrière
gauche du
véhicule ;
Un
rétroviseur
latéral
extérieur à
droite, ou
tout
dispositif
de
rétrovision
additionnel
équivalent,
réglé pour
être utilisé
par
l'expert.
Les
véhicules de
la catégorie
B dotés
d'équipements
spéciaux
destinés
uniquement
aux
personnes
handicapées
ne sont pas
soumis aux
dispositions
énoncées
ci-dessus.
Ils doivent
cependant
répondre aux
conditions
ci-après :
Avoir été
mis pour la
première
fois en
circulation
depuis dix
ans au plus
;
Comporter un
dispositif
de
double-commande
de freinage
;
Comporter un
dispositif
de
rétrovision
additionnel
extérieur et
intérieur si
le véhicule
le permet ;
Comporter un
dispositif
de
double-commande
de direction
en l'absence
de volant
pour le
conducteur.
Le
véhicule
utilisé pour
les examens
de la
catégorie B1
doit
répondre aux
conditions
ci-après :
Etre un
véhicule de
série,
réceptionné
sous le
genre
quadricycle
lourd à
moteur
(QLOMP) ;
Disposer
d'une
carrosserie
fermée et
être équipé
d'un volant
;
Etre capable
d'atteindre
la vitesse
d'au moins
60 km/h et
permettre de
procéder à
l'examen tel
que défini à
l'article 4
du présent
arrêté ;
Avoir été
mis pour la
première
fois en
circulation
depuis six
ans au plus.
Le véhicule
suiveur
n'est pas
considéré
comme un
véhicule
d'examen. Il
doit
répondre aux
conditions
ci-après :
Etre un
véhicule de
série,
réceptionné
sous le
genre
voiture
particulière
(VP) ou
camionnette
(CTTE), dont
le poids
total
autorisé en
charge
(PTAC)
n'excède pas
3 500
kilogrammes
;
Comporter au
moins quatre
places
assises ;
Etre équipé
de vitres
latérales au
niveau de
toutes les
places
assises et
d'une vitre
arrière.
Toute
indication
informant de
la situation
d'examen est
interdite
sur le
véhicule
d'examen et
le véhicule
suiveur.
En cas de
panne,
d'accident
ou
d'anomalie
mettant en
cause la
sécurité,
l'épreuve
pratique est
différée
jusqu'à la
remise en
état ou au
remplacement
du véhicule.
Le temps
attribué à
l'établissement
d'enseignement
de la
conduite,
pour
l'ensemble
des
candidats
convoqués,
ne peut être
dépassé. Les
dispositions
énoncées
ci-dessus
s'appliquent
également au
véhicule
suiveur.
-
Epreuve en
circulation
Le
candidat
doit
démontrer sa
capacité à
s'installer
et à se
préparer à
conduire.
Il s'assure
de la
sécurité à
bord du
véhicule, et
veille à
créer des
conditions
de
visibilité
satisfaisantes
en procédant
aux réglages
nécessaires.
En cas
d'erreur ou
d'oubli,
l'expert
invite le
candidat à
rectifier la
ou les
anomalies.
La tâche
d'évaluation
passe en
premier lieu
par
l'élaboration
du parcours
d'examen.
L'expert
s'attache,
en fonction
des
possibilités
du secteur
d'examen, à
placer le
candidat
dans le
maximum de
situations
de conduite
qu'un
conducteur
est
susceptible
de
rencontrer
en et hors
agglomération.
Il
privilégie
le passage
successif
d'une zone à
l'autre et
veille
autant que
possible à
ménager une
progressivité
du niveau de
difficulté.
Pendant le
parcours,
l'expert
dirige le
candidat en
utilisant
notamment
les panneaux
de
signalisation.
Ses
indications
sont
formulées
avec
précision et
suffisamment
tôt, pour
laisser le
temps au
candidat de
mettre en
œuvre les
savoir-faire
requis.
Pendant la
phase de
conduite
effective,
le candidat
est placé en
situation
d'autonomie
pendant
environ 5
minutes. Cet
exercice,
qui peut
être
fractionné,
consiste
pour le
candidat à
suivre un
itinéraire
ou à se
rendre vers
un endroit
préalablement
défini par
l'expert.
L'expert
évalue les
compétences
du candidat
dans les
domaines
suivants :
Connaître et
utiliser les
commandes ;
Prendre
l'information
;
Adapter son
allure aux
circonstances
;
Appliquer la
réglementation
;
Communiquer
avec les
autres
usagers ;
Partager la
chaussée ;
Maintenir
des espaces
de sécurité.
Lors du
parcours
hors
agglomération,
l'expert
peut
demander au
candidat la
mise en
action d'un
accessoire
dans le but
d'évaluer sa
maîtrise de
la
trajectoire
du véhicule.
L'expert
évalue
l'autonomie
et la
conscience
du risque du
candidat au
travers des
compétences
suivantes :
Analyse des
situations ;
Adaptations
aux
situations ;
Conduite
autonome.
Dans la mise
en œuvre de
chacune de
ces
compétences,
le candidat
démontre sa
capacité à
limiter la
consommation
de
carburant.
Il adopte
une attitude
courtoise au
volant
envers les
autres
usagers de
la route et
prend en
compte plus
particulièrement
les usagers
vulnérables.
-
Vérifications
techniques
A
l'occasion
d'un arrêt
et à la
demande de
l'expert, le
candidat
procède à
une
vérification
portant sur
un élément
technique à
l'intérieur
ou à
l'extérieur
du véhicule,
et répond à
une question
en lien avec
la sécurité
routière et
à une
question
portant sur
les notions
élémentaires
de premiers
secours.
L'expert
choisit le
moment et le
lieu les
mieux
adaptés pour
questionner
le candidat.
Lorsque la
vérification
le
nécessite,
la
participation
de
l'accompagnateur
doit être
sollicitée
par le
candidat
auprès de
l'expert.
S'agissant
des
candidats à
mobilité
réduite, les
vérifications
portant sur
un élément
technique à
l'extérieur
du véhicule
peuvent être
réalisées en
début
d'examen si
nécessaire.
Une
assistance
peut leur
être
apportée par
l'expert ou
par
l'accompagnateur.
-
Manœuvres
Au cours
de l'épreuve
pratique, le
candidat
devra
réaliser
deux
manœuvres
particulières
à tester en
relation
avec la
sécurité
routière :
un freinage
pour
s'arrêter
avec
précision et
une des six
manœuvres en
marche
arrière
suivantes :
1. Marche
arrière en
ligne
droite.
2. Marche
arrière en
arrondi ou
en angle.
3.
Rangement en
créneau.
4.
Rangement en
épi.
5.
Rangement en
bataille.
6.
Demi-tour.
La
réalisation
du freinage
pour
s'arrêter
avec
précision
est annoncée
par l'expert
et peut être
effectuée à
l'occasion
de tout
arrêt imposé
par la
signalisation
ou en
utilisant un
repère
vertical,
précis et
bien
visible.
Le choix
de la
manœuvre en
marche
arrière est
à
l'initiative
de l'expert,
qui
détermine le
moment où
elle
intervient
et décrit au
candidat son
cadre de
réalisation.
Cette
manœuvre ne
doit pas
être
réalisée sur
le centre
d'examen.
Dans le cas
où une
manœuvre
supplémentaire
s'impose
lors du
retour sur
le centre
d'examen,
elle ne peut
être
évaluée.
L'évaluation
des
manœuvres
est incluse
dans
l'évaluation
des
compétences.
-
Principes
d'évaluation
Le résultat
de l'épreuve
pratique
découle du
bilan
chiffré de
l'évaluation
du niveau
d'acquisition
des
compétences.
Pour être
reçu, le
candidat
doit obtenir
un minimum
de vingt
points et ne
pas
commettre
d'erreur
éliminatoire.
Pour noter
chaque
compétence,
l'expert
oppose les
actions bien
réalisées à
celles qui
ne l'ont pas
été. Il
tient compte
également du
contexte de
réalisation.
Evaluation
de la
conduite
effective.
Pour
chacune des
compétences
décrites à
l'article 21
du présent
arrêté,
l'expert
attribue la
note 0,1,2
ou 3, en
s'appuyant
sur les
définitions
suivantes :
Niveau 0
: au moins
une
composante
de la
compétence
n'est pas
acquise et
le candidat
est
incapable de
la
restituer.
Pour autant,
la sécurité
n'a pas
dépendu des
tiers.
Niveau 1
: la
compétence
est en cours
d'acquisition
mais mal
maîtrisée.
Elle a été
mise en
œuvre
pendant
l'examen,
mais de
manière
incomplète.
Niveau 2
: la
compétence
est acquise.
Elle a été
mise en
œuvre
pendant
l'examen à
des niveaux
de qualité
variable.
Niveau 3
: la
compétence
est
correctement
et
régulièrement
restituée.
Le candidat
a su la
mettre en
œuvre à
chaque fois
que cela
était utile.
Le niveau
3 ne
correspond
pas à une
prestation
parfaite et
l'évaluation
doit tenir
compte tant
du contexte
de
réalisation
des actions
de conduite
que de
l'expérience
limitée du
candidat.
Toute
action,
non-action
ou tout
comportement
dangereux du
candidat
plaçant les
autres
usagers et/
ou le
véhicule
dans une
situation où
la sécurité
dépendrait
essentiellement
des
réactions
des tiers
constitue
une erreur
éliminatoire.
Sans
préjudice de
cette
définition,
l'erreur
éliminatoire
est
également
constituée
si le
candidat
commet l'une
des
infractions
suivantes :
Circulation
à gauche sur
une chaussée
à double
sens (
R. 412-9)
;
Franchissement
d'une ligne
continue (
R. 412-19)
;
Circulation
sur les
bandes
d'arrêt
d'urgence (
R. 412-8)
ou les
voies
réservées (
R. 412-7)
;
Non-respect
d'un signal
prescrivant
l'arrêt (
R. 412-30,
R. 415-6)
;
Circulation
en sens
interdit (
R. 412-28).
L'erreur
éliminatoire
entraîne
obligatoirement
l'échec à
l'examen,
qu'elle ait
ou non
nécessité
une
intervention
physique ou
verbale de
l'expert.
En cas
d'incapacité
manifeste et
durable du
candidat à
assurer la
sécurité,
l'expert
peut décider
de ne pas
mener
l'examen à
son terme.
Cette
incapacité
entraîne
l'échec à
l'examen.
Evaluation
de la
vérification,
de la
question en
lien avec la
sécurité
routière et
de la
question
portant sur
les notions
élémentaires
de premiers
secours.
L'évaluation
de cette
compétence
est
indépendante
de la
qualité
d'expression
du candidat.
En cas
d'incompréhension
de sa part,
l'expert
peut
reformuler
la question.
La
notation de
la
vérification,
de la
question en
lien avec la
sécurité
routière et
de la
question
portant sur
les notions
élémentaires
de premiers
secours est
globalisée
et permet au
candidat de
se voir
attribuer de
1 à 3
points, dans
les
conditions
suivantes :
1 point
est attribué
si la
vérification
est correcte
;
1 point
est attribué
si la
réponse à la
question en
lien avec la
sécurité
routière est
correcte ;
1 point
est attribué
si la
réponse à la
question
portant sur
les notions
élémentaires
de premiers
secours est
correcte.
Si le
candidat ne
réalise pas
correctement
la
vérification
et s'il ne
répond pas
correctement
à la
question en
lien avec la
sécurité
routière et
à la
question
portant sur
les notions
élémentaires
de premiers
secours, il
se voit
attribuer la
note 0 à
l'ensemble
de cette
compétence.
Le candidat
se voit
attribuer un
point s'il a
démontré
pendant
l'examen sa
capacité à
adapter sa
conduite de
manière à
économiser
la
consommation
de carburant
et à limiter
les rejets
de gaz à
effet de
serre tout
en
maintenant
de bonnes
conditions
de sécurité.
Le candidat
se voit
attribuer un
point s'il a
fait preuve
pendant
l'examen
d'une
attitude
préventive
et courtoise
envers les
autres
usagers, et
plus
particulièrement
les plus
vulnérables.
-
Modalités
d'application
Les
présentes
dispositions
sont
également
applicables
dans le
cadre des
épreuves
passées en
vue de
l'obtention
d'un diplôme
de
conducteur
routier
délivré sous
l'autorité
du ministre
en charge de
l'éducation
nationale, à
l'exception
de l'article
31, alinéa
2.
Article 36
A modifié les dispositions suivantes :
La préfète,
déléguée à
la sécurité
et à la
circulation
routières,
est chargée
de
l'exécution
du présent
arrêté, qui
sera publié
au Journal
officiel de
la
République
française.
Fait à Paris, le 19 février 2010.
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